Maxime LAMBOLEY est né en 1985 au Creusot (71) mais il a grandi et vit aujourd'hui à Besançon (25).
Maxime et la photographie, c'est une histoire de sensibilités et de construction. L'appareil
photo est entré dans sa vie quelque part entre l'obtention de sa licence en médiation par le
sport et ses années passées à travailler auprès de personnes adultes porteuses de
handicap et d'adolescents en difficulté.
Photographier est pour lui une forme d'engagement, une façon de réfléchir à la société mais
aussi sur lui-même. Lors d'un voyage en Lombardie en 2016, où il part à la rencontre de ses
origines italiennes, il se retrouve à photographier un camp de réfugié.es dans la ville de
Côme. Ne pouvant s'empêcher de faire le lien entre ces parcours d'exilés et la migration de ses
grands-parents vers la France durant l'entre-deux-guerres, il est particulièrement touché
et réalise combien photographier lui permet de se révéler à lui-même.
« Je peux dire que la photographie m'a à un certain moment permis de
continuer à « croire » et j'ai la sensation de lui devoir beaucoup. »
L'altérité, le chemin vers l'autre / l'étranger, la cohabitation des cultures, voici ce qui anime
Maxime lorsqu'il s'agit de prendre son appareil photo. Il a ainsi documenté, entre autres, le
parcours de personnes migrantes passées par Besançon et les manifestations sociales des
gilets jaunes. Il travaille désormais sur trois projets au au long cours : l'immigration albanaise
à travers le parcours d'une famille singulière, l'accueil de personnes en souffrance psychique
au sein d'un GEM (Groupe d'Entraide Mutuelle) et la jeunesse de Planoise, quartier de
Besançon classé REP+ (Réseau d'Education Prioritaire).
Maxime et la photographie, c'est une histoire de sensibilités et de construction. L'appareil
photo est entré dans sa vie quelque part entre l'obtention de sa licence en médiation par le
sport et ses années passées à travailler auprès de personnes adultes porteuses de
handicap et d'adolescents en difficulté.
Photographier est pour lui une forme d'engagement, une façon de réfléchir à la société mais
aussi sur lui-même. Lors d'un voyage en Lombardie en 2016, où il part à la rencontre de ses
origines italiennes, il se retrouve à photographier un camp de réfugié.es dans la ville de
Côme. Ne pouvant s'empêcher de faire le lien entre ces parcours d'exilés et la migration de ses
grands-parents vers la France durant l'entre-deux-guerres, il est particulièrement touché
et réalise combien photographier lui permet de se révéler à lui-même.
« Je peux dire que la photographie m'a à un certain moment permis de
continuer à « croire » et j'ai la sensation de lui devoir beaucoup. »
L'altérité, le chemin vers l'autre / l'étranger, la cohabitation des cultures, voici ce qui anime
Maxime lorsqu'il s'agit de prendre son appareil photo. Il a ainsi documenté, entre autres, le
parcours de personnes migrantes passées par Besançon et les manifestations sociales des
gilets jaunes. Il travaille désormais sur trois projets au au long cours : l'immigration albanaise
à travers le parcours d'une famille singulière, l'accueil de personnes en souffrance psychique
au sein d'un GEM (Groupe d'Entraide Mutuelle) et la jeunesse de Planoise, quartier de
Besançon classé REP+ (Réseau d'Education Prioritaire).